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Le talon du manche a été ajuster à la défonce du corps. L’ensemble se monte dur, l’ajustement est serré.
Et on finit le corps ( on en peut plus de poncer !!!!)
On n’en peut tellement plus que lorsque Xavier décide qu’on a fini de poncer et qu’à ce stade là, on peut les vernir, on évacue la pâte a bois qu’on a dans les naseaux ( et oui, sciure + poussière fine de bois + morve = pâte à bois ) pour aller respirer les bonnes vapeur de vernis de la cabine de Xavier.
Bon, là aussi, c’est réservé au maître (et tant mieux). La première couche est absorbée assez rapidement, la seconde restera toute la nuit en séchage.
Cinquième jour de stage de lutherie